Vous voulez plus de visiteurs sur votre e-commerce ?
Vous aimeriez que ce soit totalement gratuit ?
C’est possible, suivez le guide !
Sommaire du guide
- Plus de visiteurs ou plus qualifiés ?
- Le référencement naturel facile et accessible à tous
- La création de contenu sur votre e-commerce
- Les avantage de créer du contenu sur votre e-commerce
- L’impact des photos
- Les réseaux sociaux pour les feignants (et ceux qui n’aiment pas les réseaux sociaux)
- Les influenceurs qui boosteront votre e-commerce (contre quelques euros?)
- Les emails, pour ou contre ?
- La publicité payante (parce que si c’était gratuit, ça se saurait…)
- La communication hors web (pour ceux qui vient encore dans la vie réelle)
- [fusion_modal_text_link name= »fiches » class= » » id= » »]Télécharger les fiches d’optimisation e-commerce[/fusion_modal_text_link]
- Télécharger le cahier des charges ultime pour e-commerce
Plus de visiteurs ou plus qualifiés ?
Evidemment, il est tentant de se dire que plus de visiteurs = plus de ventes et cela peut-être le cas… sous certaines conditions.
Alors voyons ensemble toutes les techniques pour acquérir plus de visiteurs sur votre site e-commerce et l’importance de bien les qualifier.
Deux camps en présence, l’un pense qu’il faut faire venir un maximum de visiteurs sur votre site e-commerce, l’autre que la qualité est à privilégier.
Voilà ma réponse : Cela dépend de votre business modèle et de votre offre !
Allons plus loin.
Faire venir un maximum de visiteurs
La stratégie de la quantité peut-être une bonne idée dans les cas suivants :
- Vous avez des produits génériques intéressants pour des profils très variés
- Vous avez des produits d’appel peu cher
- Vous êtes capable de transformer un client à faible chiffre d’affaires vers des produits plus intéressants
- Vous avez un fort capital de fidélisation
- Vous avez de très bon axes de communication post-achat
Si vous respectez l’un de ces différents points, il y a de grandes chances que vous soyez capable de rentabiliser de forts volumes d’acquisition à long terme. Dans le cas contraire, mieux vaut y réfléchir à deux fois.
Faire venir des visiteurs très qualifiés
Dans tous les cas, faire venir des visiteurs très qualifiés est une bonne opération pour tous types d’e-commerces, mais la qualification des visiteurs coûte cher.
Vous devriez vous contenter de visiteurs qualifiés si :
- Vos produits sont « chers »
- Vous n’avez pas de produits d’appels
- Vous avez un potentiel de fidélisation faible
- Vous ne faites pas de reconquête
- Vous avez un catalogue de niche
- Vos acheteurs ont un profil précis
- Vos prix ne sont pas diversifiés (ils sont tous compris dans une tranche de prix restreinte)
Dans ces différents cas, mieux vaut ne pas viser une acquisition globale mais plutôt qualifiée. Ceci vous permettra d’avoir un taux de transformation beaucoup plus élevé, moins frustrant et au final, moins cher.
Le référencement naturel facile et accessible à tous
Le référencement naturel devrait être vos première source d’acquisition. Il permet non seulement de vous apporter un trafic important (nous avions déjà parlé du SEO pour votre e-commerce par ici ), il est gratuit (ou presque) et permanent (ou plutôt un peu plus durable que d’autres méthodes).
Voilà ce que vous devez absolument faire pour acquérir plus de visiteurs sur votre e-commerce facilement. (Et en plus, c’est accessible à tous !)
Les nom / titre des produits
Pour les moteurs de recherche, question de SEO …
En référencement naturel, les balises ont une forte importance pour structurer l’information (on l’a déjà vu par ici avec l’importance des balises en référencement naturel), sachant que le H1 est le titre le plus important, il représente le sujet principal et unique de la page, les moteurs de recherche lui donne donc énormément d’importance.
Dans une page produit, cette fameuse et unique balise H1 est (et doit être) le nom du produit.
Au vu de l’importance de cette balise, vous imaginez bien que chaque mot doit compter. Il est alors vraiment important que vous choisissiez des mots adaptés pour votre référencement naturel, c’est à dire les mots clés qui devront afficher cette page lorsqu’ils seront tapés dans un moteur de recherche.
Il semblerait que les bonnes pratiques conseillent un maximum de 70 caractères environ (aucune information n’ayant était donnée par les moteurs de recherches, c’est une déduction générale des bons praticiens SEO).
70 caractères représentant 5 à 8 mots, cela vous oblige à aller à l’essentiel et c’est tant mieux.
Pour les visiteurs, un e-commerce au top
Lorsque l’on commence à s’intéresser au SEO, il est tentant d’optimiser son site uniquement en fonction des bonnes pratiques de référencement naturel.
Mauvaise idée !
Il ne servirait à rien d’avoir un site complètement optimisé pour les moteurs de recherche si il ne donne plus envie d’acheter. De plus, les moteurs de recherche cherchent de plus en plus à analyser les sites comme un humain le ferait (intérêt du contenu, mise en page, visuels agréables, etc …), ce serait donc à terme un mauvais investissement de ne pas penser d’abord au visiteurs humain.
Tout cela pour vous dire que le titre ne peut être une succession de mots clés mais qu’il doit être d’abord compréhensible et accessible à un futur acheteur.
La description des fiches produits
Voilà ce que font la grande majorité des e-commerçants :
Copier / Coller la description fournit par le constructeur ou le fournisseur, y joindre les images fournies et mettre en ligne.
Pour attirer du trafic, rien de plus simple, faites tout l’inverse.
Ecrivez votre propre description du produit, joignez-y des photos originales et uniques et mettez en ligne !
La description du produit doit avoir deux objectifs :
- Être un rassurant fort pour le visiteur qui ne peut voir le produit et qui, en quelque sorte, ne peut vous poser de questions à son propos
- Être une bonne source d’informations pour les moteurs de recherche (c’est là où votre connaissance SEO rentre en compte)
Une bonne structure de description produit
Structurez votre description en plusieurs points importants (encore une fois grâce aux balise titre H2, H3, etc… sachant que pour rappel, la balise H1 est réservée au titre de la fiche produit)
Dans l’idéal :
- Faites une description générale
- Listez les arguments du produit
- Détaillez les avantages de chacun
- Donnez des exemples
- Affichez des retours d’utilisateurs / témoignages
- Entourez la description d’illustrations
- Affichez des tableaux de caractéristiques techniques
et pensez à rédiger votre texte autour des mots clés sélectionnés pour chaque fiche.
Des annexes PDF e-commerce aux fiches produits
Vous avez maintenant rempli une bonne partie de votre fiche produit (et vous en avez déjà certainement marre) mais pour vos tops produits, on va pouvoir pousser encore un peu plus la performance.
Vos top produits e-commerce
Quels sont vos tops produits e-commerce ? Pour le définir, c’est simple, commencez par remplir le cahier des charges dédiés aux e-commerces, et déterminez les produits qui rentrent dans les conditions suivantes :
- Bonne marge commerciale
- Fait parti du top vente
- Nombreuses recherches sur ce type de produit
Comme pour la majorité des points abordés dans cet article, l’intérêt de cette méthode est double :
- Rassurer le client
- Se faire aimer de Google
Rassurer le client avec un PDF supplémentaire
Il ne suffit pas d’apprécier un produit pour l’acheter, il faut également se sentir suffisamment en confiance sur le fait que le produit est de qualité, qu’il sera adapté à nos envies ou besoins et qu’il sera « exploité et exploitable ». Donc c’est simple, plus vous proposerez d’informations sur vos produits, plus vos visiteurs seront rassurés.
Et plus ils seront rassurés, plus ils achèteront facilement.
En liant à votre fiche produit un fichier PDF supplémentaire en libre téléchargement, vous donnerez une impression de transparence.
Ce fichier PDF peut-être une fiche technique, une brochure, une fiche de description, des conseils d’utilisations… Dans l’idéal, ce fichier sera une aide à la vente présentant à nouveaux les atouts et forces du produit plutôt qu’un simple tableau de caractéristiques.
Autre petit avantage, le fichier PDF, contrairement à la fiche produit sur votre e-commerce, sera téléchargé sur l’ordinateur de votre visiteur. Il pourra donc le consulter à n’importe quel moment alors qu’il n’aurait pas forcément penser à re-visiter votre site e-commerce (d’autant que si c’était sa première visite, il aura certainement oublié l’adresse de votre site….)
Pensez donc à ajouter vos coordonnées, ou au miminum l’URL de votre e-commerce dans chaque fichier PDF que vous mettrez en ligne.
Plaire à Google grâce à vos PDF
Lorsque Google visitera votre site, il ira checker chaque lien de votre site et notamment ceux contenant les fiches PDF de votre e-commerce.
Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, Google sait lire le contenu de la majorité des fiches PDF.
Si votre fiche PDF est bien faite, il pourra alors référencer le texte présent dans le fichier au même titre que vos pages du site e-commerce. Il pourra même proposer dans ses résultats de recherches le PDF directement sans faire passer le visiteurs par le site e-commerce. (D’où l’importance de mettre ses liens et coordonnées dans cette fameuse fiche PDF)
Encore quelques astuces pour ce fichier PDF :
- Le titre du PDF a la même importance que le titre d’une page web, choisissez-le bien et insérez vos mots clés
- Les fichiers PDF contiennent (comme les pages d’un site web également) une description textuelle et éditable du fichier. Il faut également la remplir et y insérer vos mots clés.
- Le PDF contiendra de préférence un mélange de texte et d’images mais pas de photo de texte ou de document scanné (Google ne pourra pas l’interpréter ou très mal)
- Le fichier PDF ne devra pas être trop lourd, pensez à utiliser l’exportation pour le web ou à utiliser des outils de compression PDF en ligne
- Et, si ce n’était pas suffisamment clair, insérez vos coordonnées et liens vers votre e-commerce dans chacun de vos PDF ! Si ils sont en libre téléchargement, Google les référencera comme une page web. Il se peut donc qu’un visiteur télécharge ce document sans même avoir vu votre site, d’où l’intérêt d’y insérer vos coordonnées.
Les balises META
Chaque page d’un site internet ou e-commerce possède un titre et une description, les éléments qui servent d’office à identifier de quoi parle la page (dans un passé plus ou moins lointain, il suffisait de placer ces mots clés ici pour prendre la première place des moteurs de recherche… ah, la belle époque)
A quoi servent les balises META ? A choisir par vous-même les titres et descriptions à afficher (et à comprendre par les moteurs de recherche) de chacunes de vos pages quand les laisser vide revient à ce que le titre de la page soit souvent :
Titre du produit – Nom du site
Et la description soit la centaine de premiers caractères présents sur la page
Autant vous dire que cela met rarement les chances de votre côté quand il s’agit de draguer les moteurs de recherche et de convaincre le visiteur qu’il tombera sur la bonne page.
La majorité des CMS e-commerces tels que Prestashop, Shopify et Woocommerce par exemple, vous donnent la possibilité d’éditer facilement ces champs.
Pour bien remplir ces deux champs, ils doivent répondre à 2 critères :
- Donner envie au visiteur de cliquer sur le titre lorsque ce résultat apparait dans les moteurs de recherche (Important !)
- Faire apparaitre l’expression clée (les mots clés) sur lesquels vous souhaitez être référencé pour cette page
La description des photos e-commerce
Toutes les photos que vous mettez sur votre site e-commerce peuvent devenir des atouts pour le référencement naturel de votre e-commerce.
Comment ? En 3 étapes simples :
- Donnez leurs un nom adapté incluant vos mots clés
- Réduisez leurs poids (comme vu dans notre article dédiés aux photos)
- Remplissez leur champs ALT qui correspond à la description textuelle de l’image.
A la base utilisée pour remplacer une image qui ne s’affichait pas, le texte ALT de l’image est maintenant exploité par les moteurs de recherche pour savoir ce que représente la photo.
De plus en plus complexe, les algorithmes de Google seront bientôt (voir sont déjà) capables d’interpréter le contenu d’une image mais en attendant, la description ALT les aident bien à référencer vos images.
Encore une fois, comme vu par ici concernant les atouts des images pour votre ecommerce, les visiteurs pourront également trouver votre site par l’intermédiaire de la recherche d’images.
Pour savoir ce que Google a référencé comme images, lancez sur Google la recherche
site:www.votresite.com
Et cliquez sur Images
Le futur du web étant largement tourné vers le multimédia (photos, vidéos, 3D, réalité virtuelle, etc …), ne lésinez pas sur la qualité de vos contenus.
[fusion_modal_text_link name= »articlePDF » class= » » id= » »][/fusion_modal_text_link](parce que ça commence à faire long, non ?)
La création de contenu sur votre E-commerce
Plus de contenu ou plus qualitatif ?
Les deux. Plus vous proposerez de contenu qualitatif, plus il sera facile d’attirer les visiteurs sur votre site et de plaire aux moteurs de recherche et, ceci, chers e-commerçants, est un cercle vertueux.
On l’a déjà vu sur cet article et cet article, la création de contenu est une formule quasi-obligatoire pour faire venir les visiteurs sur votre e-commerce.
La bonne nouvelle, c’est que si vous avez suivi à la lettre les conseils donnés ci-dessus, vous avez déjà créé un contenu de qualité en remplissant vos fiches produits et potentiellement en publiant quelques fiches PDF sur votre e-commerce.
Comment créer plus de contenu sur votre e-commerce ?
Le mieux est encore d’écrire des articles et de publier du contenu autour de la thématique de vos produits.
Conseils, mise en situation, explications, tutoriels, actualités, témoignages, les idées pour créer du contenu autour de produits ne manquent pas, votre temps disponible, peut-être.
Comme pour les autres types de rédaction, pensez à l’expression clée sur laquelle les moteurs de recherche devront vous mettre en avant. Encore une fois, misez sur des expressions précises et vous aurez plus de chances de ressortir dans les premiers résultats Google.
Les avantages de créer du contenu sur votre e-commerce
Les avantages sont nombreux à proposer plus de contenu que vos concurrents.
Cela permettra de :
- Vous positionner sur plus de mots clés (ou expressions clées) que vos concurrents
- Ressortir plus régulièrement sur les moteurs de recherche pour des recherches dans votre thématique
- Garder les visiteurs plus longtemps sur votre e-commerce (un critère important pour Google)
- Faire passer vos visiteurs d’un contenu intéressant à un autre, ce qui baissera drastiquement votre taux de rebond (critère important également pour Google)
- Et un autre avantage non négligeable est de pouvoir communiquer plus facilement
Communiquez grâce à votre contenu
En publiant régulièrement du contenu sur votre e-commerce, vous avez une raison « valable » et intéressante de prendre contact avec vos prospects.
Que ce soit en publiant ces nouvelles sur les réseaux sociaux ou en alimentant vos newsletter, vous trouverez dans ce contenu une véritable mine d’or pour votre communication.
Dans la communication d’un e-commerce, le plus complexe est de trouver une ligne éditoriale intéressante. Pour la plupart, le choix est limité et la communication se fait uniquement autour des produits. Faut-il alors que vos prospects aiment suffisamment votre marque ou vos produits pour suivre votre actualité produits.
Mais lorsque l’on n’est pas encore connu / reconnu, ce public est limité, il faut alors trouver une ligne éditoriale intéressante au delà des produits, et concrètement, elle reste plutôt difficile à trouver.
Grâce au contenu créé, ce problème est résolu.
Votre communication pourra être un mix de contenu et de promotions produits, le parfait mix de l’intérêt et de la vente.
L’impact des photos
Soyons bref, le sujet a déjà été traité, et je vous conseille d’aller y faire un tour pour voir les premiers conseils à ne pas louper : Misez sur les photos de vos produits
En résumé, les photos de vos produits sont capitales, certes, mais vous aurez également besoin « d’habillez » votre e-commerce pour le rendre plus attractif et donner une image de marque adaptée aux produits que vous vendez (à voir dans le cahier des charges).
Que ce soit pour illustrer les catégories, mettre en avant des produits grâce à un slider sur la page d’accueil ou pour illustrer votre contenu, vous allez devoir vous intéresser de près aux photos de votre e-commerce.
Pensez à une boutique physique, vous la jugez d’abord sur sa vitrine (votre page d’accueil), puis en entrant, sur ses rayons (vos catégories) et ensuite sur les produits proposés (vos fiches produits).
Dans une boutique, même inconsciemment, il vous aura fallut moins d’une seconde pour déterminer :
- Le type de produits proposés
- L’âge de la boutique ou de sa dernière restauration
- Le public visé
- La qualité et le prix des produits proposés de façon générale
- Si vous aimez ou non le style
- Et certainement quelques milliers d’autres informations supplémentaires…
Il se passera exactement la même chose sur votre e-commerce, à la différence près que vous aurez beaucoup moins de facilité à orienter toutes ces informations sachant que vous n’avez à votre disposition que :
- Les images
- Les titres
- Quelques lignes de texte
- Quelques photos des tops produits
- Votre charte graphique
- L’aspect général du site (CMS + template)
Et pour couronner le tout, la moitié de ces éléments ne sont pas facilement ou forcément modifiables/ éditables (d’où l’intérêt d’y avoir réfléchi bien en amont à la création du site ou à sa refonte)
Les réseaux sociaux pour les feignants (et ceux qui n’aiment pas les réseaux sociaux)
(Malheureusement) Aujourd’hui, les réseaux sociaux sont devenus une source d’acquisition non négligeable, voir incontournable en fonction des secteurs d’activités.
Les réseaux sociaux pour le B2C ou B2B ?
Clairement, ils sont plus performants sur les marchés B2C (vente aux particuliers) que sur les marchés B2B (vente aux professionnels).
Les particuliers commandent de plus en plus sur le web et passent de plus en plus de temps sur les réseaux sociaux. Même si le plus utilisé reste Facebook, les autres réseaux comme Instagram notamment, peuvent être bien plus utiles pour vous.
Est-on obligé de poster sur les réseaux sociaux quand on a un e-commerce ?
La bonne réponse en stratégie digitale est OUI.
La vraie réponse est NON.
Dans la pratique et la vie de tous les jours, une quantité incroyable de e-commerces fonctionnent très bien avec des comptes sociaux intersidérablement vides et ne s’y intéresseront certainement jamais.
Et vous, devez-vous adopter les réseaux sociaux ?
Votre présence sur les réseaux sociaux mettra dans tous les cas du temps à s’installer. Si vous décidez de vous y mettre, faites-le en pensant long terme. Cela implique que vous soyez patient, que vous soyez assidu et que vous continuiez à poster même quand personne ne lira vos posts… #solitude
La politique des réseaux sociaux
Une autre données à prendre en compte est la politique des réseaux sociaux. Ces derniers, bien qu’à première vue gratuits, ne sont pas à but non lucratif. Ils sont là pour gagner de l’argent (beaucoup d’argent) et le moyen le plus efficace pour eux est de (vous) vendre de la pub.
Prenons l’exemple de Facebook et de ce qu’il se passera lorsque vous lancerez votre compte.
Facebook va mettre en avant vos posts dès le début, multipliant les vues et les nouveaux Likes.
Très rapidement, ces interractions vont baisser drastiquement et la proposition de payer du trafic va devenir pressante et insistante.
En clair, Facebook n’affichera plus vos publications à moins que vous soyez prêt à payer pour, et cette tendance ne s’améliore pas (Facebook pensant même à supprimer complètement l’affichage des publications pros / commerciales non payées).
Comment choisir les réseaux sociaux pour votre e-commerce ?
Pour choisir vos réseaux sociaux dédiés à votre e-commerce, il y a 3 critères :
- La présence de votre cible
- Le type de contenu que vous partagez
- Le type d’interactions souhaitées
Pour plus d’infos sur les réseaux sociaux, mieux vaut trouver un bon Social Media Manager.
Combien de réseaux sociaux alimenter ?
Disons que l’idéal est de prendre un minimum de compte (voir 1 seul) mais d’être régulier et de s’en occuper au mieux.
Le petit plus Instagram pour votre e-commerce
Petit aparté concernant Instagram qui semble être le plus intéressant du moment avec de nouvelles évolutions régulières dont l’une, récente, peut être très utile pour votre e-commerce, la vente en directe sur les posts instagram.
Jetez un oeil sur cette fonctionnalité qui pourrait changer la donne pour votre e-commerce. Bien que nouvelle et performante, attention tout de même à l’évolution de ce type de post. Aujourd’hui mis en avant pour forcer l’adoption, le système va très vite tourné au payant (pas d’affichage aux followers si le post n’est pas sponsorisé).
Et comme vous l’aurez peut-être compris, je ne suis pas un grand fan des réseaux sociaux ou de leur utilisation alors passons sans transition à un autre moyen d’acquérir du trafic qualifié sur votre e-commerce et inviter les futurs acheteurs à venir nous faire coucou.
Les influenceurs qui boosteront votre e-commerce (contre quelques euros?)
Pour aller plus vite dans votre conquête de visiteurs, il va falloir vous faire aider. Et si vous non plus n’êtes pas fan des réseaux sociaux, pourquoi pas utiliser ceux de personnes en ayant déjà fait leur coeur d’activité …
Pour booster vos visites, il n’y a que deux types de personnes qui pourront vous aider à acquérir plus de visites :
- Une personne, ayant déjà une large audience du type de public que vous recherchez, qui vous apprécie, qui souhaite vous aider et fait de la promotion pour votre site
- Une personne, ayant déjà une large audience du type de public que vous recherchez, qui apprécie votre argent, qui souhaite vous facturer et fera de la promotion pour votre site en échange de quelques euros
Si vous êtes dans le cas n°1, toutes mes félicitations, pour les autres moins chanceux, continuons.
Acheter des articles ou des posts
Acheter des posts sociaux
Première solution, rapide et facile, acheter un post sponsorisé. L’idée est simple.
Avec toutes les personnes menant de front leurs réseaux sociaux pour faire grandir et grandir leur communauté, il y a forcément tout un tas de personnes qui parlent du même sujet que vous et qui ont déjà une belle communauté sur différents réseaux sociaux.
N’hésitez pas à contactez certains d’entre-eux pour leur proposer de publier un ou plusieurs posts (rémunérés) qui citera votre marque ou votre site. Selon les influenceurs, la publicité sera plus ou moins évidentes, discrètes, bien placée.
Ne négligez pas cette solution qui peut, ponctuellement, vous apporter un fort trafic de visiteurs dès la publication du post. Veillez donc à ce que votre e-commerce soit à cet instant prêt à les recevoir (promotions, nouveaux produits, etc …) et n’hésitez pas à offrir un bon de réduction à ceux qui viendront de la part de ces influenceurs.
Petite question à part : Peut-on simplement proposer une commission à ces fameux influenceurs ?
Oui, tout est possible. Certains se contenteront d’une commission avec un code parrainage quand d’autres vous demanderont directement quelques centaines d’euros.
A vous de voir à quel point la communauté visée pourra être intéressante pour vos ventes.
Achat d’article sur des sites extérieurs
Contrairement à nos efforts en backlinking SEO, ici, ce qui compte si vous achetez un article sur un site exterieur au vôtre, c’est que ce site soit visité par bon nombre de personnes rentrant dans votre coeur de cible (j’espère que vous avez profilé votre client idéal, notamment en remplissant le cahier des charges e-commerce)
Comment trouver les bons sites ?
Pour trouver le site idéal sur lequel faire votre promotion, voilà quelques critères à vérifier :
- le nombre de visites mensuelles
- le type de visiteurs
- la crédibilité du site
- le type d’article invité proposé
- le type de lien : follow, no follow, début ou fin d’article, sur un texte ciblé ou juste un lien brut
- et bien entendu, le prix de l’article
Quel est le bon prix d’un article publié par un influenceur ?
Le bon prix, c’est celui qui est rentabilisé. Peu importe que vous y mettiez 15€ ou 1500€, la seule chose importante est d’avoir un retour sur investissement suffisant, voir conséquent.
Pensez bien entendu à tracker vos liens pour savoir d’où ils proviennent, même si Google Analytics est capable d’indiquer la provenance du visiteur.
Pour créer des liens trackés, voilà un outil fort pratique : Campaign URL Builder by Google
Comment écrire un article invité ?
Tout d’abord, évitez l’auto-promotion flagrante.
De toute façon, un bon influenceur ne devrait pas accepter un article qui est centré autour de l’auto-promotion. Un bon influenceur essayera toujours d’apporter de la valeur ajoutée à son public, après tout, personne n’aime la pub et encore moins y consacrer du temps de lecture…
Trouvez un sujet pertinent en lien avec vos deux sites, passions, activités (à votre e-commerce et à votre influenceur) et écrivez un article remplit d’astuces, de conseils, de bon sens ou pourquoi pas, racontez votre histoire personnelle si elle a de l’intérêt pour ce public.
Dans tous les cas, pensez d’abord à l’intérêt du visiteur.
Dans l’idéal, placez votre lien au sein du texte et évitez le : https://recruitme.fr et favorisez une URL en contexte telle que : La référence stratégie e-commerce (c’est toujours bon pour le SEO et présente des meilleurs taux de transformation)
Dans l’idéal, proposez un outil, un livre blanc ou même un cadeau.
Pensez à cet article comme à un investissement commercial, il peut coûter cher mais son but est de rapporter à court et moyen terme.
Echanger des liens
Si vous ne souhaitez pas payer, vous pouvez toujours tenter un partage de lien.
La plus grosse problématique reste que pour intéresser un site partenaire, vous devez être bien ranké (en SEO) ou avoir déjà une bonne audience à proposer, sinon, vous aurez un grand intérêt à partagez votre lien mais le site partenaire n’aura aucun intérêt à partager le vôtre.
Attention tout de même à ne pas faire partager votre lien par n’importe qui.
Google donne une importance capitale à la provenance et la cohérence de la source du lien. Par exemple, inutile de vous inscrire sur des annuaires (Ah… l’époque où il suffisait de s’inscrire sur un tas d’annuaires pour arriver 1er…), Google ne donnera de l’importance à ce lien que si il vient d’un site qu’il considère comme influent et pertinent dans votre domaine.
Pas d’inquiétude, si échanger des liens n’est pas à votre portée, je suis certain qu’offrir des articles invités le sera.
Les articles invités
Les articles invités, c’est gagnant/gagnant.
Cela permet au site source d’avoir du contenu à publier sans trop se fatiguer et cela vous permet d’avoir un lien vers votre site souvent qualifié et de qualité.
Bien entendu, pour que cela fonctionne, il va encore une fois falloir proposer un contenu de qualité. Disons qu’il serait judicieux, par exemple, d’avoir un article d’au moins 500 mots, d’être pertinent, précis et d’apporter une expertise plutôt que des présentations ou vérités générales que personne n’aura réellement envie de consulter.
Rappelez-vous que cet échange n’a pas pour but de faire uniquement votre promotion mais que le prix à payer en échange de cette publicité gratuite est de fournir un article suffisamment intéressant pour le public visé.
C’est un peu comme si un auteur de livre reconnu vous laissait quelques pages de son dernier best-seller pour conter une histoire, vous n’oseriez tout de même pas gâcher son oeuvre avec de la publicité mal placée n’est-ce pas ?
[fusion_modal_text_link name= »articlePDF » class= » » id= » »][/fusion_modal_text_link](oui, il en reste encore …)
Les emails, pour ou contre ?
Depuis que vous avez commencé à lire cet article (cela doit déjà faire un moment), vous avez certainement reçu une dizaine d’emails de toute sorte, certains sont professionnels, d’autres personnels et pour la grande majorité… de la pub. Argh.
Donc ? Est-ce que l’on arrête d’envoyer des emails ?
Les emails pour vos clients
Sans trop m’avancer, je dirais qu’une grande partie de vos clients sont intéressés de prêt ou de loin par vos produits…
A ce titre, et si vous leur avez demandé la permission, il y a également de grandes chances que vous soyez capable de les intéresser en leur proposant de nouvelles actualités, de nouveaux produits ou tout autre élément en lien avec ce qu’ils aiment.
« En lien avec ce qu’ils aiment », voilà la clé de tout bon email.
Vous n’aurez peut-être pas de deuxième chance. Envoyez un email dont le contenu n’a rien de pertinent avec l’intérêt et c’est la sanction immédiate : « Unsubscribe me from this list », vous venez certainement de perdre un client.
L’idéal est donc de segmenter votre liste de clients selon leurs intérêts, leurs préférences et leurs achats.
Ainsi, lorsque vous enverrez un email à vos clients, soyez certain que le contenu correspond à ce qu’ils apprécient. Mieux vaut envoyer une campagne à une liste très restreinte de contacts très qualifiés qu’à l’ensemble de vos contacts dont la plupart n’en ont rien à faire.
Quels types d’emails envoyer ?
Faites des tests !
Il n’y a que les statistiques (Ouverture, Clic, Achat) qui vous donneront les réponses.
Vous pourriez par exemple essayer les emails suivants :
- Nouveautés
- Promotions
- Actualités
- Présentation de produits
- Mise en avant d’une collection
- Histoire d’un produit
- Envoyez des médias (vidéos, etc …)
- Proposition directe d’un choix de produits plus ou moins personnalisée
- Aide à l’achat ou au choix
- etc …
Avec le marketing automation, tout vous est permis ou presque, à vous de mettre en place les bons plugins, les bons indicateurs de résultats et à faire un maximum de tests (pas sur la même personne !).
Respectez tout de même une fréquence d’envois faible (maximum 2 emails par mois) sans quoi ce sera la sanction assurée : « Unsubscribe me from this list ».
Récupérer les emails des visiteurs
Ne serait-il pas génial de pouvoir récupérer l’adresse email de chaque visiteur qui passe sur votre site ?
NON !
Vous finiriez considéré comme SPAM en moins de temps qu’il ne vous aurait fallu pour finir votre premier email.
Encore une fois, peu nous importe la quantité d’emails que vous êtes capable de recruter, ce qui nous intéresse particulièrement ce sont des contacts qualifiés.
Et voilà les critères que nous souhaitons connaître :
- Leur prénom / nom (pour pouvoir personnaliser les emails)
- Leurs sources d’intérêts (quels types de produits)
- Leur température (dit comme ça c’est étrange… ce qui nous intéresse c’est de savoir si ce sont des prospects chauds, prêts à passer à l’achat, ou froids, tranquillement en train de surfer, regarder, se renseigner mais sans intention d’achat proche)
- et bien entendu leur email (mais vu que nous sommes dans le chapitre Emails, j’espère que vous l’aviez compris)
Qualifiez vos listes
En fonction des critères énoncés ci-dessus, l’idéal serait de créer plusieurs listes et plusieurs campagnes (automatiques, si il fallait le préciser).
Bonne nouvelle, Mailchimp.com propose maintenant l’automation (les envois automatiques) gratuitement. A vous de voir quelle sera la plateforme d’envoi d’emails la plus intéressante pour vous.
Pour bien « trier » vos contacts, créer plusieurs points d’entrée qui permettront de qualifier les intérêts des visiteurs.
Imaginons que vous vendiez des planches de surf, vous pourriez faire un formulaire pour télécharger le plan des meilleurs spots de surf sur la côte Ouest Américaine (qui qualifiera votre prospect comme : Intéressé par le sujet, certainement pratiquant, voyageur, pas d’achat en vue, à garder sur le long terme) et un guide pratique d’entretien d’une planche en particulier (qui qualifiera votre prospect comme : intéressé par cette planche, prêt à en savoir plus, peut-être prêt à passer à l’achat).
Et bien entendu, la plus simple des qualification pourrait également être un pop-up « Inscrivez-vous et recevez 5% de réduction » : Qualification immédiate : Prêt à acheter.
Quels emails pour quelle personne ?
Encore une fois, tout cela devra être testé, pour en revenir à Mailchimp, cette plateforme comme d’autres permettent de faire des tests A/B.
Le principe d’un test A/B est simple. Une partie de la liste reçoit un email, tandis que l’autre partie de la liste reçoit un autre email.
Cela vous permet notamment de tester :
- différents Sujet d’emails et vérifier l’impact sur le taux d’ouverture,
- différents types de contenu pour mesurer les interactions (plus de clics sur les images ou sur le texte, etc …),
- différents tons éditoriaux (comment faut-il s’adresser à cette liste ?)
Dans l’idée, il y a trois grandes possibilités :
- Vous écrivez des articles, de l’actualité ou des tests de produits et vous les diffusez également par email
- Vous ne créez pas de contenu, vous proposez votre catalogue (nouveautés, promotions etc…)
- Vous impliquez votre cible dans une demande (témoignages, avis, concours, etc …)
Cela dépend grandement de votre stratégie éditoriale et commerciale ainsi que du temps et du budget que vous aurez à consacrer à cette tâche.
La publicité payante (parce que si c’était gratuit ça se saurait…)
Faut-il payer pour acquérir plus de trafic sur votre e-commerce ?
Pourquoi pas ? Encore une fois, tout est bon du moment que c’est rentable.
Par exemple, savez-vous combien de temps il aura fallu pour écrire cet article ? Peu importe en réalité, du moment qu’à court, moyen ou long terme, il devienne rentable.
Google Adwords
Bien qu’il existe d’autres publicités payantes que celles de Google, comme celles de Bing par exemple, nous resterons sur Google parce que … et bien parce que c’est Google tout simplement (si il fallait le préciser, 91,49% des parts de marché de la recherche online, qui a dit monopole ?).
Principe N°1 de la publicité payante : Vous faites de la publicité pour vendre.
Cela peut paraitre logique, ça ne l’est pas.
Surtout lorsque l’on voit qu’une (bonne) partie des acheteurs de publicités le font uniquement pour créer du trafic sur leur site en espérant que ce trafic se transforme en ventes.
Pour bien respecter le principe n°1 :
- Faites en sorte que l’annonce soit très claire sur le fait que c’est un achat
- Linkez directement vers un produit
- Soyez clair sur le produit sur lequel ils vont atterrir
- Mettez en avant des arguments commerciaux
- Essayez de minimiser le nombre de clics (en perdant tous les clics qui recherchent de l’information par exemple)
Attention, piège !
Bien entendu, vous voulez du trafic et Google veut vous en envoyer (contre rémunération évidemment). Vous pouvez donc très facilement faire venir quelques milliers de visiteurs sur votre e-commerce en quelques heures.
Aucun intérêt.
Aucun intérêt si la page sur laquelle ils arrivent n’est pas parfaite, parfaitement faites pour transformer, affichant des images de qualité, un prix attractif, une description détaillée, des CTA – call to action – et des rassurants importants sur le paiement, le stock, la livraison, la sécurité, le site etc …
Et surtout on calcule … la rentabilité
Encore une fois, inutile de lancer une action commerciale (et oui, cela reste une action commerciale) si l’on ne peut pas en mesurer le retour sur investissement. Pour se faire, Google Adwords + Google Analytics + les statistiques de votre CMS (Prestashop par exemple) devront être analysés et comparés pour déterminer quelle est la rentabilité de chaque annonce.
Petite astuce : L’avantage d’internet, c’est que tout est immédiat. Si votre rentabilité est mauvaise ou nulle après les premiers jours, elle ne s’améliorera pas. Re-qualifiez votre annonce ou modifiez votre fiche produit.
Sur quels produits faire de l’Ads ?
Les différents produits sur lesquels faire de l’ads :
- Les plus recherchés (trending ou autre…)
- Les plus vendus (vente facile, vente tranquille)
- Les plus rentables (une bonne marge, c’est la base)
- Les mieux positionnés en prix (les acheteurs cherchent les meilleurs prix)
- Les produits que vous souhaitez tester au catalogue (pour ne pas perdre de temps)
Les autres publicités seront certainement plus difficiles à rentabiliser, mais comme vous le savez maintenant, faites le test !
Les Ads des réseaux sociaux
Facebook propose des publicités plutôt efficaces dans leurs ciblages.
Vous pouvez trouver assez précisément les cibles qui vous intéressent, même si parfois vous devrez faire preuve d’imagination.
Dans tous les cas, le principe reste le même : faites de la pub pour vendre !
Qu’il est tentant (merci Facebook) de payer pour booster un post ou une page et acquérir de nouveaux abonnés.
Sur ce principe, bonne chance pour rentabiliser votre investissement, les abonnés sont de moins en moins informés de vos publications non sponsorisées et il y a une (énorme) différence entre un visiteur intéressé par le sujet de votre page Facebook et un visiteur prêt à acheter vos produits.
Donc, pour rester cohérent avec nos objectifs (vendre, pour rappel), vous devriez respecter quelques principes simples :
- Faites de la sponso uniquement pour des produits à vendre
- Acheter des prospects, pas des followers
- Acheter des clics vers votre e-commerce, pas vers votre page Facebook
- Pensez qu’un follower n’est pas un futur client mais qu’un client fera un bon follower
Créer de bonnes publicités
L’avantage de Facebook par rapport à Google Adwords, c’est que nous pouvons présenter un produit à une personne qui ne l’a pas demandé.
Facebook est pro-actif dans les propositions quand Google est réactif.
Cet avantage est énorme, il permet de créer / susciter l’intérêt d’une personne pour un sujet ou un produit alors que cette dernière n’y pensait même pas.
Pensez-y en créant votre publication sponsorisée, votre futur client (on croise les doigts) n’a pas demandé à voir votre produit. Vous devrez donc faire plus d’effort encore pour susciter son intérêt ou sa curiosité.
Heureusement pour vous, les publicités facebook sont un peu plus permissives que celles de Google, elles autorisent plus de texte, plus d’images et sont affichées de façon plus visibles (même si elles restent noyées parmi des millions d’autres publications…)
Autre avantage non négligeable, le coût d’une publicité bien faites sur Facebook est moins important qu’une campagne Adwords, sa rentabilité est donc souvent plus importante (mais cela pourrait vite changer…)
Pour conclure cette partie, et au risque de me répéter, vous devriez tester, mesurer et assurer votre rentabilité !
La communication hors web (pour ceux qui vivent encore dans la vie réelle)
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